nov. 242011
• Chronique par Bernard Loupias dans Le Nouvel Observateur (du 24 au 30 novembre 2011)
Où, loin du jazz « majoritaire », le saxophoniste Daunik Lazro (ici au baryton), resté fidèle à la poétique aylerienne et à son désir de « vision », rencontre la merveilleuse « paire » rythmique Benjamin Duboc (cb) – Didier Lasserre (dms, cofondateur du précieux label Amor Fati), déjà entendue notamment avec le pianiste Jobic Le Masson. Un trio qui donne à écouter une autre musique : éloge de la sensation, du presque rien, de l’effleurement, de la vibration pure. Sous un titre parfait, tiré d’un haïku de Basho (1644-1694).
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